Dernière minute

Dernière mise à jour le 20 juin 2019

BAC 2019 : Des personnels admirables, un ministre déplorable !

Depuis plus d’un an et demi, le SNES-FSU et des milliers de personnels se sont mobilisés pour dire leur inquiétude, leur colère face aux réformes envisagées dans l’éducation nationale. Champion de la surdité, de l’aveuglement et de l’arrogance, le ministre ne connaît qu’une méthode : le passage en force.
Tous ses projets ont fait l’objet de critiques venues de toute la communauté éducative, le Conseil Supérieur de l’Éducation nationale, les a repoussés à la majorité voire à l’unanimité (réforme du bac, réforme du lycée, contenus de programme, loi dite sur l’école de la confiance...), la seule réponse à chaque fois a été l’entêtement.

Lire la suite >>

Grève durant les examens, jurys de délibération : mise en place d’une cellule de soutien par la section académique SNES

BAC 2019 : en direct des centres de jurys


Tout est pour le mieux !

Pas d’inquiétude, le ministre de l’Éducation nationale travaille d’arrache-pied à l’amélioration du système éducatif. Il s’agit donc de lui faire confiance et de cesser toutes critiques et mobilisations, et si jamais votre confiance était toute relative, un texte de loi vous y enjoindra !

C’est dans ce contexte que le bilan social du ministère de l’Éducation nationale nous fait la démonstration des réussites de la politique conduite : le taux de réussite au DNB, que d’aucuns estiment qu’il est donné à tous, recule de 1,7 point, les démissions explosent (on passe dans le 1er degré de 332 démissions en 2014 à 861 en 2017, et, pour le 2nd degré, de 351 en 2014 à 538 en 2017), un tiers de postes au concours du CRPE de Créteil ne trouve pas preneur, le taux de précaires explose à 12% (de 2 730 en 2008 à 4 092 en 2017 pour le 1er degré et de 24 282 en 2008 à 39 791 en 2017 dans le 2nd degré)…

Nul doute que ces indicateurs montrent la grande réussite des réformes tous azimuts engagées par le ministre. Le malaise est de plus en plus grand pour les enseignants, les conditions de travail de plus en plus dégradées, leur professionnalité de plus en plus attaquée, leur expertise complètement niée, leur formation mise aux oubliettes… Il n’est plus question de réformes lorsqu’on atteint un tel niveau de résultats. Il s’agit ni plus ni moins d’un dynamitage !

La communication érigée en projet politique ne suffit plus pour masquer des réalités de plus en plus criantes. L’avenir de nos élèves est en jeu au travers de l’avenir de notre statut, de nos métiers, de nos missions, de nos rôles. Les parents ne s’y trompent plus quand ils soutiennent maintenant les mobilisations contre la politique éducative du gouvernement.

L’effet Blanquer s’érode et la réalité des impacts des réformes se fait jour. Nous ne pouvons laisser s’effriter plus avant notre modèle éducatif et notre modèle social. Ne rien faire en attendant des jours meilleurs présume d’une capacité de résilience qui sera extrêmement difficile. En cette veille de vacances, restons plus que jamais mobilisés pour la défense d’une école de la réussite de tous !


Surveillances des épreuves du baccalauréat : vous avez dit « fébrilité » ?

Le ministre a beau répéter que « tout va bien se passer », il semblerait que dans les rectorats et les établissements, l’administration ne soit pas convaincue par cet optimisme de façade. Ainsi, le SNES-Fsu a été informé que dans plusieurs établissements, l’administration « charge la barque » des surveillances pour la semaine prochaine, visiblement en « surconvoquant » les collègues – en prévision des absences pour grève ? Ce qui amène de nombreux collègues à avoir un planning de surveillances qui dépasse parfois allègrement leur maxima de service hebdomadaire. Et ce n’est pas acceptable :

- les heures de surveillance doivent respecter la « charge normale d’emploi » et la « durée normale de travail » : elles ne peuvent donc dépasser 15h ou 18h (ou service spécifique, pour les stagiaires, les personnels à temps partiel, etc.) ;
- si les plannings de surveillance ne respectent pas ce cadre, il faut intervenir collectivement pour amener l’administration à revoir l’organisation prévue ;
- si l’organisation n’est pas revue, a minima, toutes les heures qui dépassent le maximum de service doivent être rémunérées en HSE, en lycée comme en collège d’ailleurs.
- les arguments parfois avancés par certaines administrations facétieuses ( « 1h de cours = 2h de surveillance », « en période d’examen, on n’est pas obligé de respecter les maxima de service ») relèvent de la science fiction, de l’imagination, et n’ont strictement aucun fondement juridique – si on vous oppose ce type d’argument, demandez sur quels textes il s’appuie…

Plus d’informations ici :
https://www.snes.edu/Les-examens-nationaux.html

En tout état de cause, cette fébrilité perceptible dans les établissements laisse entendre que la mobilisation annoncée pour le 17 juin inquiète l’administration. La réponse apportée est à l’image de l’attitude du ministre – déni, tentative de passage en force – mais cela doit nous inciter à faire encore plus monter la pression, tout de suite !


L’opposition aux réformes Blanquer s’enracine : continuons !

Plus personne ne croit aux taux de grévistes communiqués par le Ministre de l’Education Nationale … Même plus la presse qui en vient à pointer ses manipulations statistiques (lire à ce propos l’article de Libération).

Dans la réalité, et même si les situations sont diverses, nous avons constaté que près d’un lycée sur 2 était mobilisé aujourd’hui dans l’Académie, et qu’il y avait des grévistes un peu partout. Surtout, de nombreux actions locales, rendant visible l’opposition aux réformes Blanquer, ont eu lieu à Cambrai, Valenciennes, Dunkerque, etc.
A Lille, le rassemblement intersyndical a dépassé nos espérances avec 300 personnes venues construire symboliquement le mur derrière lequel s’isole le Ministre.

Pour la section académique, les conditions sont réunies pour continuer à mettre la pression, jusqu’aux résultats du bac, en se saisissant des préavis déposés chaque jour pour maintenir la menace de grève, avec en ligne de mire le jeudi 27, premier jour des épreuves du DNB, et journée d’action dans la fonction publique.

Analyse SNEP-FSU de la Loi « pour une école de la confiance »


Le SNEP-FSU rejoint l’appel à la grève les premiers jours d’examen le 17 juin 2019

Réforme des lycées généraux et professionnels, réforme du baccalauréat, réforme des programmes, dispositifs amoindrissant la place de l’EPS comme «sport l’après-midi», salaires, recrutements, conditions de travail, loi pour «l’école de la confiance», loi de «transformation de la Fonction publique»… les mécontentements des enseignants d’EPS sont nombreux et ne sont ni entendus, ni écoutés.
Face à cette situation sans précédent qui touche au coeur la professionnalité des enseignants, le SNEP-FSU après une large consultation s’exprime majoritairement pour rejoindre l’appel lancé par le SNES-FSU, le SNUEP-FSU, le SNETAP-FSU, la CGT educ’action, Sud éducation, le SNALC, la CGT agri, la CGT éduc’action privé, le SUNDEP, la CFE-CGC avec le soutien des Stylos Rouges, de la CNT et de la Chaîne des bahuts.
Cette mobilisation dont le gouvernement porte la pleine et entière responsabilité vise l’ouverture de négociations réelles sur l’ensemble des problématiques pour la définition d’une autre politique éducative, pour l’avenir de la jeunesse et la reconnaissance des personnels. Le SNEP-FSU appelle à continuer le développement des initiatives locales et à se rassembler pour organiser les actions le 17 juin, date de la première épreuve du baccalauréat, et à construire les suites avec l’ensemble des partenaires et des usagers de l’école.

Analyse SNEP-FSU de la Loi « pour une école de la confiance »


AED « Prépro » : une disposition du projet Blanquer à combattre en Conseil d’Administration !

Exemple de motion en vue du vote en CA, indispensable pour autoriser éventuellement le chef d’établissement à signer un contrat AED Prépro


Suppression des agents de laboratoire dans 10 collèges du Nord Pas-de-Calais

L’académie de Lille a perdu 287 postes d’enseignants pour la rentrée de septembre 2019, et aussi 25 postes d’administratifs dont 10 postes d’agents de laboratoire (les ATRF, adjoints techniques de recherche et de formation de l’Éducation nationale).
A la rentrée prochaine, le rectorat supprime les postes des agents de laboratoire dans 10 collèges de l’académie. Ces postes étaient vacants pour le rectorat, pourtant ceux-ci étaient occupés par des vacataires.
Pour les enseignants de Sciences Physiques et de SVT, ces suppressions sont une dégradation des conditions de travail et une charge de travail supplémentaire.

Lire la suite >>


Manifestation nationale du 18 mai à Paris : 10 000 pour dire NON !

Nous étions 10 000 à défiler entre Montparnasse et Place d’Italie ce samedi après-midi, 10 000 à avoir fait l’effort de mettre entre parenthèse vie personnelle et copies, pour affirmer notre rejet des réformes Blanquer !
10 000 fois NON aux réforme du lycée et du bac qui organisent le tri des élèves et la concurrence entre les personnels, en parfaite conformité avec l’insupportable Parcoursup.
10 000 fois NON au projet de Loi dit « Ecole de la confiance » qui veut museler, évaluer, déréglementer et céder l’Education Nationale aux managers, aux intérêts privés et à tous ceux qui défendent un système éducatif caporalisé et ségrégatif qui ne profitera qu’à l’oligarchie des établissements « internationaux ».
10 000 c’est beaucoup, mais ce n’est pas encore assez pour contraindre JM Blanquer à renoncer à son projet, même si notre mobilisation a permis de dégager les regroupements Ecole-collège.
Mais 10 000, avec l’ensemble des collègues qui, dans les établissements, entendent poursuivre l’action jusqu’à la grève pendant les examens, c’est un point d’appui solide pour continuer.

Les nombreux manifestants venus de toute la France et le SNEP-FSU peuvent déplorer la faible couverture médiatique qui n’est pas à la hauteur de leur colère et du malaise engendrés par les réformes Blanquer. Mais seuls le rapport de force et les actions collectives qu’avec la FSU et le SNEP-FSU , les personnels de l’Éducation nationale porteront dans les semaines à venir, seront en capacité de nous faire entendre de la population et du gouvernement.

Dès maintenant, dans tous les établissements, informons, mobilisons et préparons des actions sous toutes ses formes. Le 27,28 et 29 mai , dites non au projet de Fonction publique du gouvernement.
Porteur de l’intérêt général, nous nous battons pour la justice sociale et l’accès à tous aux services publics de qualité dans l’Éducation nationale et la Fonction publique.


TOUTES ET TOUS A PARIS LE 18 MAI

Se mobiliser contre les réformes Blanquer et " Fonction Publique "

Des départs en TGV sont prévus de Calais, Dunkerque, Lille et Arras.

Les places sont limitées, inscription obligatoire auprès du S3 de Lille avant le 13 mai : s3lil@snes.edu

- Départ Calais FRETHUN 8h15 (arrivée à Paris 10h14) ; Départ Paris 18h46 (retour à Calais FRETHUN 20h23)
- Départ Dunkerque 9h56 (arrivée à Paris 12h08) ; Départ Paris 17h46 (retour à Dunkerque 19h23)
- Départ Arras 11h17 (arrivée à Paris 12h08) ; Départ Paris 18h52 (retour à Arras 19h41)
- Départ Lille FLANDRES 11h11 (arrivée à Paris 12h14) ; Départ Paris 18h46 (retour à Lille EUROPE 19h47)

Détails des trains

Affiches, visuels, tracts

Analyse SNEP-FSU de la Loi « pour une école de la confiance »


Analyse SNES-FSU du projet Darmanin Dussopt de la réforme de la fonction publique


Se mobiliser contre les réformes Blanquer et « Fonction Publique » : objectifs 9 et 18 mai

9 mai
Manifestation à caractère « régional » à Lille, 14h30, Porte de Paris.

Rassemblements-Manifestations :
- Arras (10h, Place de la gare)
- Dunkerque (10h, Place de la gare)
- Boulogne, 9h30, Bourse du travail
- Calais, 9h30, Sous-préfecture

- Cambrai, bus intersyndical pour lille, 12h30, Maison des syndicats.

Après les temps forts du 19 mars, du 30 mars et du 4 avril... L’objectif est de réussir la grève unitaire Fonction Publique du 9 mai !
Pour installer et amplifier la mobilisation dans la durée par des actions diverses et visibles dans les établissements (tractage, votation sur les réformes, évaluation des élèves, etc.), la section académique propose des outils pour aider à créer et maintenir une dynamique contre les réformes du lycée, de l’École et de la Fonction Publique.
Lire la suite >>

Affiches, visuels, tracts

Analyse SNEP-FSU de la Loi « pour une école de la confiance »


Analyse SNES-FSU du projet Darmanin Dussopt de la réforme de la fonction publique


Le 1er mai 2019, ensemble, résolus et engagés dans les mobilisations

Le 1er mai est une journée d’action et de mobilisation internationale pour les droits des travailleur-se-s, le progrès social, la paix et la solidarité.

Dans la continuité des nombreuses luttes menées, il s’agit de poursuivre et amplifier les batailles menées contre les réformes en cours (Réformes du bac et du lycée, Loi confiance, réforme de la Fonction Publique) et pour la hausse des salaires et des pensions .

La section académique du SNEP-FSU appelle avec les organisations CGT, FSU, SOLIDAIRES, UNEF et UNL (http://fsu.fr/Le-1er-mai-2019-ensemble-resolus-et-engages-dans-les-mobilisations.html) à une forte journée de mobilisation ce 1er mai sur l’ensemble du territoire, pour l’amélioration des droits des travailleur se-s, pour le progrès social, la paix et la solidarité internationale. Cette journée du 1er Mai fait partie de notre calendrier de lutte contre les réformes en cours, elle prépare les mobilisations du 9 Mai, du 18 Mai et les suivantes.

La section académique du SNEP-FSU appelle donc tous ses adhérents à participer massivement aux rassemblements intersyndicaux organisés dans notre région ce mercredi 1er Mai.

Liste des rassemblements et manifestations :
Lille : 10h, Porte des Postes , Manifestation
Arras : 10h, Place de la Gare, Manifestation

Cambrai : 10h30 devant l’hôtel de ville
Calais : 10h à la Bourse du Travail
Boulogne : 9h30 Bourse du Travail
Douai : Place Carnot rassemblement à 9H30 manifestation à10H
Dunkerque : 10h devant le bâtiment de l’AVENIR
Grande-Synthe : fête du monde ouvrier au Palais du Littoral de 10h à 19h (animations, barbecue gratuit, concert d’HK...)
Roubaix-Tourcoing, Halluin, Manifestation, 10h , à Roubaix (lieuà préciser)
Maubeuge, 10h, Stèle des 93
Valenciennes, 10h, Place d’Armes


On vous mentirait ?

La prise de conscience face à la politique menée par notre ministre de l'Education nationale amène de plus en plus de contestation. Après une première tentative de museler les mobilisations et l'expression de nos collègues en demandant que des sanctions disciplinaires soient prises, notre ministre qui confond autorité et autoritarisme essaie de décrédibiliser le mouvement en disant que celui-ci se construit sur la base d' « un festival de bobards ». En clair, il ne faut pas écouter les « ventilateurs à angoisses », termes du ministre pour qualifier les organisations syndicales mais croire, en toute confiance en ses projets et en sa loi… Le mépris, ça suffit !

Faisant « œuvre » de pédagogie, il développe sa pensée en distillant de vraies contrevérités pour peu que nous les mettions en regard avec ce qui est effectivement inscrit en toutes lettres dans son projet de loi. Ses expressions publiques, ses épanchements dans la presse et dernièrement sa lettre à tous les enseignants renvoi l'image d'un ministre qui n'est plus aussi serein et qui commence à être bousculé. Le projet de loi pour « l'école de la confiance » n'est absolument pas un projet qui porte la volonté de la réussite de tous les élèves et de la démocratisation du service public d'Education mais un projet technocratique et structurel qui porte en germe une mise au pas très forte des personnels et une Ecole à plusieurs vitesses. Il n'est, au final, que la déclinaison de CAP22 au sein de l'Education nationale en cohérence avec le projet de loi pour « la transformation de la Fonction publique ».

Ces projets doivent absolument être abandonnés tant ils sont dangereux pour la formation et l'avenir des jeunes, pour les personnels, pour le service public et l'ensemble des usagers. L'ensemble de notre modèle social, dont le service public est un des piliers, est attaqué frontalement et le projet de loi santé actuellement à l'étude, la future loi retraite participent de cette destruction. Quelle que soit la motivation, réforme du lycée, réforme de la voie professionnelle, loi Fonction publique, loi Blanquer, loi santé, retraite… se mobiliser est incontournable pour empêcher la mise en œuvre de ces projets politiques qui vont engendrer de multiples dégradations pour nos métiers mais aussi plus globalement dans nos vies.

Les mensonges, les répressions et manipulations ont assez duré, ces projets sont inacceptables, disons STOP Ensemble !


Jeudi 4 avril
un prochain temps fort de mobilisations contre la loi Blanquer

Rassemblement intersyndical devant le Rectorat à 12h

La section académique du SNEP-FSU appelle notamment :

- à tenir des Heures d’Information Syndicale,
- à organiser, par exemple, des pique-niques revendicatifs ou des distributions de tracts,
- à faire une journée de votation sur les réformes
- à organiser une conférence de presse.

Mobilisé-es pour obtenir l’abandon du projet de loi Blanquer

Les enseignantes et enseignants se mobilisent face à la politique éducative, rétrograde et libérale, conduite actuellement à marche forcée au mépris de leur expertise professionnelle et déjà sanctionnée par l’ensemble de la communauté éducative.
Elles et ils rejettent notamment le projet de loi « pour l’école de la confiance », un texte qui ne permettrait en rien d’améliorer la réussite de tous les élèves et bouleverserait radicalement le fonctionnement et la structure de l’école avec notamment la création de regroupements écoles-collège.
Nos organisations syndicales SNUipp-FSU, SNEP-FSU, SNES-FSU, SNUEP-FSU, FNEC-FP-FO, CGT Éduc’action et Sud Éducation dénoncent les menaces de sanctions et pressions exercées à l’encontre des personnels et défendent leur liberté d’expression. Nos organisations sont engagées dans ces mobilisations, soutiennent les actions menées localement et appellent à les développer avec tous les personnels.
Lire la suite >>


Analyse SNEP-FSU de la Loi « pour une école de la confiance »


30 mars : journée nationale d’action - Monsieur le Ministre, pour améliorer l’École vous n’avez pas notre confiance !

Le ministère de l’Éducation nationale poursuit sa politique éducative rétrograde et libérale sans prendre en compte ni l’expertise professionnelle des acteurs de terrain, ni les avis de leurs organisations syndicales, ni ceux de l’ensemble de la communauté éducative.
L’amélioration de notre système éducatif exige certes, une ambition politique forte mais également une construction qui soit commune et concertée. Or, le ministre entend imposer de nombreuses transformations et continue de le faire à marche forcée.

Ces transformations, par leur contenu et la méthode, vont le plus souvent accroître les inégalités, dégrader les conditions de travail des personnels sans répondre à la nécessité d’améliorer le service public d’éducation pour assurer la réussite de tous les élèves et l’élévation du niveau de qualification.
Lire la suite >>

Le 30 mars :
Toutes et tous mobilisé.es
Manifestations dans les territoires


Appel intersyndical à la mobilisation interprofessionnelle du 19 mars !

Compte-tenu de la gravité des attaques,
- contre le second degré et les personnels , et plus largement le service public d’Education Nationale (Loi « Pour une Ecole de la confiance »),
- contre les services publics, les fonctionnaires et leurs statuts (projet de loi de transformation de la fonction publique, qui sera présenté le 27 mars),
La FSU et ses syndicats nationaux ont décidé de faire du 19 mars une journée de mobilisation (grève, manifestation, rassemblements), qui doit s’inscrire dans une succession de temps forts sur la fonction publique, et permettre de fédérer les actions dans les établissements
.

Loi "Pour une Ecole de la confiance"
Attention danger !

Fonction publique
Alerte rouge sur les droits des personnels !

Tracts et affiches pour une mobilisation continue avant et après le 19 mars

Projets de Loi Blanquer et Fonction Publique : diaporamas pour animer une heure syndicale

Manifestations, rassemblements :
- 10h Arras Place de la Gare
- 9H30 Boulogne/ mer Bourse du Travail
- 9H30 Calais devant le Théâtre
- 9H30 Maubeuge lycée Pierre Forest
- 10h Douai Place des Armes

Horaires bus pour la Manifestation du mardi 19 mars 2019, 14h30 Porte de Paris à Lille


Communication du projet de mouvement par le ministère

Comme chaque année, le ministère vient de diffuser le projet de mouvement (contre l'avis de toutes les organisations syndicales) alors que nous siégeons pour l'EPS le 26 février dans l'après midi. Les résultats officiels seront donc connus à cette date. D'ici là nous ne pouvons rien communiquer, car chaque année de nombreux changements ont lieu. A l'issue de la FPMN les syndiqués et les collègues nous ayant fait parvenir une fiche syndicale seront destinataires d'un SMS et d'un mail, ainsi que d'un envoi postal comme l'ensemble des demandeurs et demandeuses de mutation Inter.
Vous pourrez contacter les élu.es du SNEP-FSU le 26 février dès 19h30 en appelant le 01.44.62.88.31/32 pour connaitre votre résultat.

Les élu.es nationaux du SNEP-FSU


La fusion des académies de Lille et d’Amiens n’aura pas lieu : une première victoire !

Dès 2015, lors de la création des treize nouvelles régions métropolitaines, le gouvernement avait étudié l’alignement des académies sur la carte des régions.
En juillet 2018, le ministre de l’Éducation Nationale annonçait la fusion de toutes les académies métropolitaines à partir du 1er janvier 2020. Les académies d’Amiens et de Lille devaient fusionner dès cette date.
La mobilisation menée par le SNASUB-FSU dans les services administratifs de l’Éducation Nationale, a fait reculer le gouvernement. Cette victoire syndicale est importante pour les personnels administratifs en premier lieu mais aussi pour les personnels des collèges et lycées qui seront toujours gérés au niveau de l’académie de Lille. En cette période de suppressions de postes, le périmètre académique actuelle est la garantie d’éviter une affectation encore plus lointaine dans une académie Hauts-de-France qui aurait été démesurée ( de Dunkerque à Château-Thierry, de Fourmy à Mers-les-Bains).
Cette première victoire et ce premier coup de canif dans le grand projet de casse du Service public (CAP 2022) est un signe d’encouragement à poursuivre nos mobilisations contre les réformes du gouvernement.


Rassemblement du 6 février : métier et reconnaissance professionnelle des AESH

Le SNES et les syndicats de la FSU (SNEP, SNUEP, SNUIPP ) vous invitent dans le cadre d’une large intersyndicale à venir porter ensemble ces revendications !
RASSEMBLEMENT DEVANT LE RECTORAT DE LILLE MERCREDI 6 FEVRIER A 14H30

Tract


5 février : Manifestations et grèves interprofessionnelles

La FSU et le SNEP-FSU, suite à l’initiative de la CGT, appellent à s’inscrire dans cette journée interprofessionnelle (public – privé) et intersecteurs par les moyens les plus appropriés que les collègues décideront (grève, manifestation, HIS et AG dans les établissements …) et en fonction des situations départementales et locales de luttes.

Les personnels de l’EN ont toutes les bonnes raisons d’y participer.

Tract

Manifestation à 14h30 Porte de Paris Lille


31 janvier : les retraités à nouveau dans la rue contre la politique de Macron

Les Organisations Syndicales et Associations de Retraités du Nord, USR CGT Nord, CFTC Retraités, CFE-CGC UNIR, UCR FO, FSU Retraités, FGR-FP, SOLIDAIRES Retraités, UNRPA, LSR, revendiquent :

- L’annulation de la hausse de la CSG pour tous les retraités.
- Pas de pension inférieure au smic
- La fin du gel des pensions, le rattrapage des pertes subies, la revalorisation annuelle de toutes les pensions et le refus des 0.3% en 2019 et 2020 bien en deçà de l’inflation annoncée à 1,7%.
- L’indexation des pensions en fonction de l’augmentation du salaire moyen.
- Le maintien et l’amélioration des pensions de réversion sans conditions de ressources.
- Le rétablissement de la ½ part fiscale et l’exonération fiscale des majorations familiales.
- La prise en charge de la perte d’autonomie à100% par la sécurité sociale.
- Le maintien et le développement des services publics de proximité.
- Une fiscalité plus juste, plus progressive.
- Le rétablissement de l’ISF.

Manifestation à Lille le 31 janvier à 14h30 place de la gare Lille-Flandres

Arras : 8 h 00 Place Foch : rassemblement avec stand pétition aux retraités

Béthune 10 h 30 : Rassemblement Place Clémenceau

Lens Liévin : AG des syndiqués CGT à Avion

Boulogne : Distribution de tracts sur les Marchés

Dunkerque : 10h Place de la Gare


Grève le jeudi 24 janvier

Rentrée 2019 : 287 suppressions de postes dans l’Académie de Lille

Manifestation à 14h30 Porte de Paris Lille

Tract SNES-FSU LILLE

Calais : Rassemblement à l’initiative du Snes à 9H30 devant la bourse du travail, suivi d’une AG à la salle Boulanger de la Bourse du Travail.

Nous denonçons avec force :
- la suppression de l’équivalent de 287 postes de professeurs (287) dans le second degré, alors que les collèges et les lycées de notre académie compteront davantage d’élèves, et que les Segpa sont touchées.
- la suppression de 38 postes d’administratifs (Services et EPLE)
- le caractère notoirement insuffisant des moyens alloués au Premier degré, à la vue des objectifs affichés (poursuite du dédoublement des classes en REP et de la mise en œuvre de la scolarité obligatoire dès 3 ans).
Lire la suite >>


Les CHSCT : une instance sciemment oubliée

Dans le sillage des travaux du comité « CAP 22 » qui préconisait la dissolution de l’instance CHSCT dans une instance fourre-tout, l’Académie de Lille semble profiter des élections professionnelles pour geler les travaux des CHSCT académiques et départementaux.

En effet, alors que les CAPA ont bénéficié, dès le 7 janvier 2019, d’une session d’installation exceptionnelle, la rectrice de Lille nous refuse la programmation d’une séance extraordinaire des CHSCT permettant la poursuite de leurs travaux ordinaires et ce dès le mois de Février 2019. Or, depuis le 6 Décembre 2018, date des résultats des élections professionnelles, la répartition des sièges est pourtant connue. Selon les services du rectorat, aucune date ne serait disponible avant Février 2019 pour le CHSCT A. La session d’installation est fixée lors d’une séance ordinaire le 8 février 2019 pour le 62.

Les conséquences sont elles immédiates : l’annulation de toutes les visites CHSCT programmées dans le Nord (4) et dans le Pas-de-Calais. Les membres des CHSCT ne peuvent donc pas poursuivre leur travail d’enquête et d’analyse de terrain en ce qui concerne la protection de la santé physique et mentale, la sécurité et l’amélioration des conditions de travail.

A la rentrée prochaine, ce seront pas moins de 287 postes qui seront supprimés dans notre académie, alors que le nombre d’élèves est lui en forte augmentation. La politique gouvernementale d’austérité et la réforme des lycées et du baccalauréat en sont les causes principales. Les conséquences seront donc nombreuses sur les conditions de travail des collègues : suppressions de postes, compléments de services sur plusieurs établissements et de facto des déplacements toujours plus nombreux. Face à ces détériorations programmées par notre administration, nous exigeons la tenue rapide d’une séance extraordinaire d’installation les CHSCT afin que les mandataires CHSCT puissent reprendre leur travail de veille et d’alerte.


Le jeudi 17 janvier, la FSU appelle à cesser le travail une heure

Les organisations lycéennes UNL et FIDL et syndicales CGT Éduc’action – SNES, SNEP, SNUEP, SNETAP de la FSU - Sud Éducation – SNCL FAEN – CGT AGRI, SIES dans la poursuite des actions déjà menées et en convergence avec les actions menées dans l’enseignement supérieur, entendent amplifier ensemble la mobilisation.
Elles appellent les personnels à un processus de mobilisation passant par des actions diversifiées (organisation de rencontres avec les parents et élèves, motions en CA, interpellations des élus etc.). Dans ce cadre, elles appellent lycéens et personnels à une journée nationale d’actions le 17 janvier, afin de construire une grève massive le 24 janvier pour :
le retrait de la réforme des lycées, du baccalauréat et de Parcoursup, l’abandon du projet de service national universel, l’arrêt des suppressions de postes, l’augmentation des salaires, le respect de la liberté d’expression et de manifestation.
Elles invitent les assemblées générales à débattre des suites de l’action.
Elles proposeront cette grève à l’ensemble des organisations syndicales.
Lire la suite >>


Rentrée 2019 : l’Académie de Lille durement touchée

Sur proposition de la FSU, les organisations syndicales siégeant en Comité Technique Académique ont décidé de boycotter la réunion prévue ce jour, afin de protester contre les suppressions de postes qui affectent le 2d degré et les postes d’administratifs, et contre l’insuffisance notoire des moyens dévolus au 1er degré.
Le CTA est reconvoqué le jeudi 17, et les instances départementales (CTSD 59 et 62) sont elles reconvoquées vendredi 18

Le Comité Technique Académique de ce jour devait se réunir pour examiner la répartition des moyens dans le Premier et le Second degré pour l’année scolaire 2018-2019.
Nos organisations syndicales étaient convoquées pour discuter de la dotation académique annoncée par le Ministre le 19 décembre dernier. Elles souhaitent, par le boycott de cette instance, exprimer avec force :
- leur opposition à
la suppression de l’équivalent de 287 postes de professeurs (287) dans le second degré, alors que les collèges et les lycées de notre académie compteront davantage d’élèves, et que les Segpa sont touchées. Elles constatent par ailleurs qu’une nouvelle fois, elles ne disposaient pas des dotations des lycées avant l’instance.
- leur opposition à
la suppression de 38 postes d’administratifs (Services et EPLE)
- le caractère notoirement insuffisant des moyens alloués au Premier degré, à la vue des objectifs affichés (poursuite du dédoublement des classes en REP et de la mise en œuvre de la scolarité obligatoire dès 3 ans).
Lille, le 15 janvier 2019

Lire la suite >>


Elections professionnelles : la FSU Nord/Pas-de-Calais, 1ère fédération en voix et en sièges sur la totalité des scrutins.

Conforté-es par leurs résultats aux élections professionnelles et plus que jamais engagé-es au quotidien, les militant-es de la FSU mettront tout en œuvre dès l’installation des nouvelles instances à partir du 7 janvier pour défendre les droits des personnels et construire les actions nécessaires pour stopper les projets de régression et d’injustice sociale qu’il s’agisse de l’Education, des Services Publics, des retraites , de l’assurance-chômage ou de la solidarité avec les plus fragiles..

Malgré une importante dispersion des voix sur toutes les listes présentes, la FSU et ses syndicats maintiennent leur représentation dans les instances académiques en progressant même en voix ou en sièges chez les infirmier-es , les assistant-es sociaux-sociales, les non titulaires enseignants.

La FSU et ses syndicats nationaux, toujours majoritaires sur la totalité des scrutins, restent la référence pour les personnels. Leurs élus et militants vont continuer d’œuvrer au quotidien pour la défense des personnels et de nos métiers dans écoles, les établissements, les services et au niveau national pour la défense du service public d’Éducation Nationale, des statuts et pour le dégel du point d'indice, face à un gouvernement dont la priorité n’est pas, loin s’en faut, le service public d’Éducation Nationale.

Lille, le 7 janvier 2019


RASSEMBLEMENT MERCREDI 19 DECEMBRE
Lille, 14h30 Rectorat

Ce mercredi 19 décembre, jour du CTM, comité technique ministériel, où sera annoncée la répartition des postes entre académies et jour du CSE où seront présentés les programmes, la FSU appelle à un rassemblement à 14h30 devant le rectorat pour dénoncer ces réformes.

Venons-y nombreux ! Chaque établissement doit être représenté.

Tract


MANIFESTATION VENDREDI 14 DECEMBRE
Lille, 14h30 Porte de Paris

La FSU Nord/Pas-de-Calais appelle à participer massivement à la manifestation du vendredi 14 décembre , à Lille , 14h30, Porte de Paris , pour défendre les droits des salariés,des fonctionnaires, des privés d'emploi et des retraités avec d'autres organisations syndicales comme la CGT, Solidaires etc. Il s’agit, dans l’indispensable construction d’un rapport de force, de contraindre le pouvoir à revenir à la table des négociations, et dans le même temps d’affaiblir encore sa capacité de nuisance dans les contre-réformes programmées en 2019.

Il s'agit dans l'Education et en particulier le second degré d'entraver la mise en oeuvre de la réforme du lycée, du lycée professionnel et de celle du baccalauréat , synonymes de tri social et d'exclusion.Il s'agit enfin de remettre en cause parcoursup , point d'orgue de ce tri social .

D'ores et déjà des préavis de grève ont été déposés pour permettre à tous les personnels de venir nombreux vendredi mais aussi de décider d'actions variées au niveau local dès le lundi 10 décembre.

Calais, 7h, Rond-point Zone Curie Calais Saint-Pierre
Boulogne, 9h30, Bourse du Travail
Cambrai , 9h30, Maison des syndicats
Valenciennes, 10h, Place d’Armes
Dunkerque, 15h, Gare


Budget des lycées et taxe d’apprentissage : vers une baisse importante !

La taxe d’apprentissage est une cotisation des entreprises qui permet de financer la formation professionnelle des futurs salariés. Une part variable de celle-ci peut être versée aux lycées professionnels et technologiques de la formation initiale.
A partir de 2019, les règles d’attribution de cette taxe vont changer et impacteront le budget des lycées professionnels et techniques publics : il est à craindre que les lycées perdent plus de la moitié des sommes perçues au titre de la taxe d’apprentissage.
Les explications de cette chute.
Lire la suite >>


Elections au conseil d’Ecole de l’ESPE

Les ÉSPÉ sont administrées, à parité de femmes et d’hommes, par un Conseil d’École, et dirigées par un directeur.

A quoi sert le conseil d’Ecole ?
Le Conseil d’École :
- adopte les règles relatives aux examens et les modalités de contrôle des connaissances.
- adopte le budget de l’école et approuve les contrats pour les affaires intéressant l’école.
- est consulté sur les recrutements de l’école et le plan de formation ouvert aux étudiants et aux fonctionnaires stagiaires.

Les élections :

Le scrutin aura lieu les 13 et 15 novembre 2018 sur chaque site ÉSPÉ : Arras, Douai, Gravelines, Outreau, Valenciennes, Villeneuve d’Ascq, Université d’Artois (Lens, Liévin), ULCO (Boulogne, Calais, Dunkerque), Université de Lille (Campus Cité Scientifique, Campus Moulin-Ronchin, Campus Pont-de-Bois).

Si vous n’avez pas la possibilité de vous rendre à l’ESPE le jour du scrutin vous pouvez donner procuration pour le vote à une personne de confiance. La demande est à faire entre le 15 octobre et le 12 novembre.

Les fonctionnaires stagiaires sont tous électeurs et éligible. Les représentants des personnels sont élus pour cinq ans, les représentants des usagers pour 2 ans.

Pourquoi participer à ces élections ?

Le conseil d’école est consulté sur toutes les questions liées à l’organisation de la vie collective et de la formation à l’ESPE.
Prendre part au vote, et voter FSU, c’est exprimer sa voix et participer à la construction d’un cadre et d’une formation ambitieuse pour les étudiants de master et les fonctionnaires stagiaires.

Toutes les informations sur les élections au conseil d’école de l’ÉSPÉ sont accessibles sur le site de l’ÉSPÉ : http://www.espe-lnf.fr/spip.php?article222


Soirées Formation pédagogique SNEP-FSU

Des pistes pour intégrer le Hip Hop dans son enseignement EPS


Le SNEP FSU Lille organise trois soirées de formation concernant une APSA : le Hip Hop
Lieu : FLOW Centre Euro régional des cultures urbaines 1 rue de Fontenoy 59000 LILLE
Trois dates et contenu abordé :
Jeudi 04/10/2018 18h30-21h30 : Découverte du « Flow » et des possibilités qu’il offre en terme de projets pédagogiques, Présentation et historique des cultures urbaines.

Jeudi 29/11/2018 18h30-21h30 : Découverte et Pratique de plusieurs styles de Danse Hip Hop avec un danseur professionnel.

Jeudi 24/01/2019 18h30-21h30 : Mises en oeuvre d’EPS

Pour s'inscrire

Éducation nationale : grève le 12 novembre !

- 2 600 postes pour la rentrée 2019 dans le second degré : c'est non !

Avec 2 650 postes d’enseignant-es et 400 de personnels administratifs supprimés, c’est une nouvelle dégradation des conditions d’études des élèves et de travail des personnels qui est programmée.

Cela n’est pas compatible avec l’ambition d’un enseignement de qualité et d’une plus grande égalité de réussite, ni d’une bonne administration du système éducatif.

Les organisations FSU, UNSA-Education, SGEN-CFDT dénoncent ces suppressions d’emplois dans un contexte d’augmentation démographique. La « priorité au primaire » ne peut pas se faire par un redéploiement de moyens.

Elles demandent au gouvernement de renoncer à ce projet.

Les organisations FSU, UNSA-Education, SGEN-CFDT appellent les personnels de l’Éducation nationale à une journée de grève le 12 novembre prochain.

Manifestations :
10h, Calais pour les personnels du littoral,
14h30 Porte de Paris à Lille

Bus FSU


FORUM retraité-es de la FSU le 12 novembre 2018 à la Bourse du travail de Lille

Encore une nouvelle réforme des retraites !

Quelles conséquences pour les futurs et actuels retraités ?
Ce Forum organisé par la Section Fédérale des Retraité-es de la Fédération Syndicale Unitaire (FSU) Nord-Pas de Calais.

Il se déroulera à la Bourse du Travail 254 Boulevard de l’usine 59000 Lille.

Accueil à partir de 9 h00
9h30 -9h45 : Historique des différentes réformes des retraites : Alain Dercourt
9h45-10h30 : La réforme des retraites « Macron » : Eric Duflos
10h30-11h00 : Débat
11h00 -12h15 : Impact de la nouvelle réforme des retraites pour les retraité.e.s : Joël Chenet de la Section Fédérale des Retraité-es Nationale

12h15 –12h45 : moment convivial
12h45-13h30 : repas sur place

13 h 45 : départ pour la MANIFESTATION ACADEMIQUE à LILLE à 14h30, PORTE DE PARIS pour soutenir la grève dans l’Education Nationale

La participation au repas s’élève à 15 € et sera réglée sur place.

L’inscription préalable obligatoire -pour une bonne organisation- se fera avant le 9 novembre auprès de :

►Agnès Huret :
courriel : agnes.huret@ouvaton.org

►André Léger : 06 37 39 43 41
- courriel : andre.leger59@gmail.com

►Jean-Paul Machen : 06 74 53 26 03
- courriel : jeanpaulmachen@gmail.com


Journée d’action nationale retraité.e.s du 18 octobre

Les Organisations Syndicales et Associations de Retraités du groupe des 9 du Nord et du Pas de Calais appellent les Retraités le jeudi 18 Octobre 2018

- à LA JOURNÉE NATIONALE D’ACTION UNITAIRE RETRAITÉS

- à se rassembler devant le conseil départemental à Arras à 10h30 pour intervention en préfecture,

- au rassemblement à partir de 14h00 devant le Siège du Conseil Régional, Boulevard du Président Hoover à LILLE

- à 14h30 à la MANIFESTATION vers la place de la République à LILLE.


9 octobre : une première journée de mobilisation

Manifestation régionale 14h30 Porte de Paris LILLE

Face aux attaques contre la Fonction publique et les services publics, le SNES et sa fédération la FSU appellent à participer, selon diverses modalités, à une première journée de mobilisation : grèves, rassemblements, manifestations, assemblées générales.

Lire la suite >>


Réformes du lycée et du bac, offre de formation : c’est maintenant qu’il faut agir pour empêcher le massacre.

Attention ! Offre de formation et postes en danger !

Les chefs d’établissements ont été réunis le 18 septembre par la Rectrice à propos de la mise en œuvre de ces réformes, et notamment de l’offre de formation dans chaque établissement.

Nous rappelons que les textes en vigueur obligent à consulter le CA pour l’offre de formation. Nous appelons tous les personnels à organiser des Heures d’Information Syndicale et participer à toutes les réunions sur ce sujet. Nous devons agir pour maintenir l’offre de formation existante et l’enrichir ; l’enjeu est de permettre à chaque élève d’accéder à une formation de son choix dans son établissement ou dans l’établissement public le plus proche pour les formations technologiques et/ou spécifiques mais aussi celui du maintien des postes (l’éducation nationale ne fait pas partie des ministères prioritaires ) et du risque de hiérarchisation accrue des lycées.

Sollicitez votre chef d’établissement pour qu’il communique avec les personnels. Il faut lui demander :
- si des contraintes lui sont imposées
- quel est le calendrier : des chefs d’établissement annoncent une remontée au rectorat avant le 3 octobre
- la réunion de tous les personnels.


La voie professionnelle en grève le jeudi 27 septembre ...
Le 20/09/18

Manifestation régionale 14h30 Porte de Paris LILLE

La réforme « Blanquer » de la voie professionnelle va aggraver nos conditions de travail, supprimer des postes dans toutes les disciplines et entraver la réussite des jeunes !

L’intersyndicale CGT Éduc’action, SNUEP-FSU, SNEP FSU, Sud Éducation, SNALC, SNCL FAEN, SIES appelle les personnels à se mobiliser en :
– Organisant des heures mensuelles d’information intersyndicale la semaine du 17 au 21 septembre 2018 dans tous les établissements pour informer la profession des conséquences de la réforme ;
– Construisant ensemble une journée de grève le jeudi 27 septembre 2018.

Lire la suite >>


Téléphone portable au collège : le texte de loi définitif

Présentée comme une interdiction pure et simple, la loi maintient le statuquo en négatif de la précédente. Seul changement majeur, l’usage pédagogique du téléphone portable ou de tout autre terminal électronique de communication (tablettes, ...) pourra être autorisé par le règlement intérieur.
Le texte final du projet de loi sur le téléphone portable au collège, après avoir été fortement amendé par les sénateurs, est passé devant une commission mixte (six sénateurs et six députés) le 19 juillet 2018 qui a produit un texte consensuel entre ces deux instances. Le 30 juillet, l’Assemblée nationale a voté définitivement ce texte législatif.
La FSU attendait un cadre national or, une fois de plus, tout est délégué au local. Il est inacceptable que la liberté pédagogique des enseignant-e-s dépende du règlement intérieur, et donc de l’avis des parents. C’est un retour en arrière puisqu’à l’issue de l’audition à l’Assemblé nationale, les députés avaient pris acte de ce problème. Mais les sénateurs ont fait le choix démagogique du règlement intérieur.

Lire la suite >>


DNB 2018 : de la politique du chiffre à la fraude à l’examen

La pression du chiffre était décidément trop forte : pressés par l’Education Nationale de faire du chiffre et d’être performants, deux personnels de direction de l’académie ont commis l’irréparable : ils ont reconnu avoir falsifié les bilans de fin de cycle 4 réalisés par les professeurs (et qui peuvent rapporter la moitié des points), de façon à améliorer les taux de réussite à l’examen.

Normalisation pédagogique !
Le Ministre le clamait haut et fort dans une interview au journal Ouest-France en avril dernier : « La liberté pédagogique n’a jamais été l’anarchisme pédagogique ». C’est peut-être cette phrase, comprise comme une consigne hiérarchique, qui a conduit plusieurs chefs d’établissement de l’académie à améliorer les niveaux de maîtrise de dizaines d’élèves, jugeant certainement leurs professeurs trop libres de faire leur métier consciencieusement.

Faute avouée, totalement pardonnée ?
C’est peut-être aussi cette phrase qui explique l’absence de réponse du rectorat à nos sollicitations … pour pointer l’anarchisme managérial.
Pour le SNES-FSU, la liberté pédagogique n’a pas de prix : il est grand temps de remplacer le bilan de fin de cycle par la prise en compte des disciplines en tant que telles, et de cadrer strictement l’oral, lui aussi source de pressions pour augmenter artificiellement les taux de réussite, ce qui coûte moins cher que d’investir des moyens pour les faire progresser … et permettra peut-être au ministère de s’auto-satisfaire d’une nouvelle progression historique des résultats pour la session 2018 du DNB.


Année scolaire 2017-2018 Lire